Chapitre 9
Alors que les similis s’adonnaient à leurs activités, les deux tourtereaux, a savoir, le maître et le numéro 7, s’éveillaient.
Ou du moins, un des deux.
Saix se réveilla, il ne sais d’ailleurs pas la raison de cette éveille, toujours est-il qu’une fois ses yeux ouverts, sa vue encore trouble, il ne pu que constater le vide à coté de lui.
Alors ses yeux encore mis clos s’ouvrire entièrement, c’est vrai, il fut prit d’une grande frayeur quand il constata la non-présence du maître à ses cotés…Lui qui avait su le bercer tout au long de la nuit.
Il se redressa sur le lit, commençant a fouiller sous les draps, rien, pas de maître, puis sous le lit, rien, c’est pas vrai, il a voulu se venger où quoi ? Se disait-il en continuant ses recherches.
Toujours sur le lit, le numéro sept empoigna les vêtements du maître et les secoua violemment. Il entendit alors quelque chose tomber au sol, quelque chose de mou apparemment étant donner le peu de bruit que cela avait produit.
Intrigué, le Berserk pencha sa tête vers le sol en direction de la fameuse chose, il s’agissait d’une figurine en mousse que l’ont nommait peluche, de taille moyenne qui gisait au sol lui tournant le dos. La curiosité de Saix l’emporta et c’est sans attendre qu’il prit la fameuse peluche, il la retourna et sursauta en réalisant qu’il s’agissait d’une copie de lui même en miniature.
Il voulut rire, mais il fut surpris par la porte qui grinça, se retournant, il vit le numéro 1 arriver avec un plateau contenant du pain, du jus de fruit et surtout – indispensable- du nutella.
Le maître semblait étonné de voir Saix dans une tel posture, celui-ci affichait alors un sourire tendre. Il se retourna et s’assit en indien sur le lit…Les mains toujours derrières son dos. Xemnas lui, ne comprenait pas vraiment ce qui se passait. Finalement, le berserk dévoila sa découverte, le maître sursauta un instant, puis gêné tel un enfant il baissa les yeux, Saix le vit même rougir, puis, après quelques secondes de honte, il lança à Saix un regard qui en disait trop. « Tu m’ennnn veuuuux ? » Suivi d’un petit sourire enfantin.
Saix lui répondis par un sourire timide, un sourire qui était si rare sur ses lèvres, Xemnas en eue des frissons. Puis finalement, le berserk reprit sa place, le dos contre la tête du lit, attendant son serviteur et son petit dej’.
Xemnas sourit, et délicatement arriva posant le plateau entre eux deux. C’est dingue, c’était-il dit…Mais vraiment, on dirai un couple.
Il se rappela alors qu’il pouvait se considéré comme tel dorénavant, et il faillit brailler d’hystérie comme une fille qui venait de voir son idole.
Soudain il se rendit compte de la situation en faite, Saix ne semblait pas vouloir toucher au plateau, il le regarda d’un air interrogateur, puis lui lança d’un air triste.
« Tu m’en veux d’avoir une peluche de toua ? »
Saix hocha la tête négativement, Xemnas en fut surpris.
« Qu’est-ce qu’il y a alors ? »
Saix ne répondit pas, il voulait que le numéro 1 découvre dans ses yeux ce que lui voulait, il dirigea son regard vers le plateau, puis, fit une mine malade et fatigué, fixant son cher Xemnas.
Celui-ci sursauta, il paniquait, il n’arrivait pas a comprendre ce que son cher et tendre souhaitait, puis soudain, un éclaire de lucidité parcouru son esprit et il sourit d’un air coquin.
« Tu es trop fatigué pour manger c’est ça »
Le simili aux cheveux mauves répondit d’un clin d’œil, ce qui fit sourire Xemnas.
« Je dois t’aider hummm ? » Fit-il en s’avançant vers Saix un tranche de pain beurré au Nutella dans sa main.
Saix souriait, le numéro 1 aura donné son royaume pour que jamais il ne cesse de sourire.
Ainsi ils restérent tout les deux appréciant sans doute un des seuls moments de paix qu’ils auraient.
Le borgne quant à lui, venait de réaliser l’horreur de la situation, une pulsion soudaine, incontrôlable, l’avait fait basculer sur Demyx, mais la n’était pas le pire, il avait aussi réaliser avec horreur qu’il l’avait embrasser, et que c’était en Demyx tout rouge qu’il avait sous lui.
Il priait cependant pour que la situation ne soit pas encore pire, vous savez quel genre de « malaise » peuvent subir les hommes dans ce genre de situation, et il priait pour que ces hormones ne l’aie pas déclenché.
Dégageant ses lèvres de celle du numéro 9 il jeta un coup d’œil, tout avait l’air normal, tout allait bien, respire xigbaaar se disait-il alors que le numéro 9 lui le regardait d’un air étonné, toujours rouge pivoine.
Soudain, alors que leur position était rester inchangé, quelqu’un ouvrit brusquement la porte, surpris Xigbar et Demyx tournèrent la tête en direction du grabuge et virent un homme ( ça c’est parce qu’ils savaient, sinon, on se serai posé la question) aux cheveux roses tirant une tête étonnée, puis éclata d’un rire de sale gamine.
« Ooooooh comment c’est trop mignoooon.
-Marluxia….ferme la porte… » Soupira Xigbar gêné
Le numéro 11 répondit un sourire sadique.
« XIGBAR ET DEMYX Y FONT DES CHOSEUUUH
-Toi….T’es mort !!! » S’exclama Xigbar qui c’était par réflexe levé et qui avait commencer a courser le simili aux cheveux roses dans les couloirs du palais, Demyx aurait bien aimé lui rappeler sa tenue, mais il n’en avait pas eu le temps et surtout, il ne c’était pas encore remis de la scène de tout à l’heure.
Ainsi, Marluxia poursuivit par Xigbar, commencent leur course folle dans le palais. Tel deux fusés ils passèrent devant Xaldin assit aux coté de Luxhord.
Le numéro 3 plongé dans des pensés obscures sursauta et donna un coup de coude a son collègue.
« Luxhord
-Oui Xaldin ?
-C’est moi, où ont vient de voir Marluxia poursuivit par Xigbar en caleçon.
-Non tu n’as pas rêvé » Soupira Luxhord d’un ton froid .
Il s’en suivit une longue pose d’a peu prés deux minutes où ont pouvaient entendre les mouches voler avant que Xaldin ne relève la tête.
« Sympas le caleçon.. » Avoua-t-il pour finir.
Luxhord le regarda un air de panique dans ses yeux avant de détourné son regard, il espérait que Xaldin avait de rester d’alcoolémie de la veille pour dire de tel chose, et qu’il n’était pas dans son état normal.
Pendant ce temps, dans un autre coin du palais, Vexen était seul, il avait préféré s’isoler suite à l’humiliation qu’il avait subie avec Zexion, toute fois, un soupçon de paranoïa l’avait pousser a croire que le dire du jeune simili était faux.
Mais là n’était pas le pire, le pire c’était que depuis cette terrible expérience, il se surprenait a penser à Zexion de plus en plus, et sans cesse il jurait dés que ça lui prenait.
Il c’était donc isolé, espérant voir une chose qui allait changer ses penser pour un bon bout de temps.
C’est a ce moment là que le scientifique passe devant la porte des appartements du numéro 7…Il repensa alors…Saix était toujours porté disparut.
Soudain, alors que le silence régnait il entendit d’étranges bruits émaner de la chambre de Saix, intrigué, il tendit l’oreille la plaquant contre la porte, il arrive alors a discerner davantage l’origine du bruit : Des grincements.
Puis aussi des rires.
Des grincements
Et puis….Ahhhhh.
Il releva la tête, s’en était trop…Blanc comme un mort il décida de rejoindre les autres.
« Ben alors Vex ! Ont dirait que t’as vu un fantôme ! » S’exclama Larxéne en constatant le teint pale du scientifique.
« Pire Larxéne…Pire…
-Ben alors ? Raconte nous ! » Demanda Zexion en s’approchant de lui
Par réflexe il fit un bond en arrière, regardant avec méfiance le simili nain.
« Oh ça va ! Tu va te remettre de ce rêve à la fin , alors raconte !
-Saix….J’crois qu’il est revenus…
-Ah bon, qu’est-ce qui te fait dire ça ? »
Le numéro 4 vire alors rouge pivoine
« A ouais d’accord, ont a pigés …»
Soudain la porte de la salle s’ouvrit en éclat, le simili punk arriva en courant sautillant comme une enfant.
« Il a neigééééé il a neigéééé il a neiigéééé venez voiiiir il a neigééééé, ouiiiii »
Le petit simili sautillant tel un kangourou quitta la salle tout en continuant a hurler dans tout les couloirs. Les autres eux, se lancèrent un regards avant de se précipité à la fenêtre.
Et dire qu’ils pensaient se mettre au boulot .
Suite du chapitre 9
Voici par exactitude ce qui c’était passé entre le maître et le bras droit, lorsque Vexen avait entendu des bruits bien étranges.
Alors que Xemnas s’apprêtait à aider son cher berserk, pour manger une tartine de nutella. Une noisette de la pâte à tartiner tomba sur le torse du numéro sept. Dont le haut de soie était légèrement descendu : probablement dû à un sommeil agité ! Saix aurait voulu le retirer à la pointe de ses doigts, mais Xemnas avait trouvé une meilleure solution. Il lui embrassa le torse, l’exact endroit où se trouvait la pâte chocolatée. Saix dévoila un côté sensible, frissonnant. Cela plus au Supérieur, qui se jeta sur le berserk, lui faisant subir des baisées rapide sur le ventre. Saix tentait désespérément à éviter ce jeu qui semblait réveiller un désir interdit. Le numéro sept se retourna subitement marchant à quatre pattes, et encore tirant son corps avec ses mains. Xemnas lui enlaçant le bassin, afin que le bloquer. Limite écrasée, Saix ressemblait à une étoile de mer sous une pierre. Il éclata de rire en suivit de Xemnas.
Au début, il pensa que c’était finit. Mais, Xemnas était loin d’être calmé.
« Mon cher, je ne l’avais pas remarqué, mais tu as un postérieur de femme » expliqua t’il en pelotonnant de fessier de Saix « n’empêche ! bien formé »
Une grimace, Saix lui fit un regard de chien abattu, ayans comprit où en voulait venir le maître simili. Il n’était pas encore près à ce genre de pratique, préfèrent y aller doucement dans leur relation. Xemnas était en admiration du derrière de son amant, n’arrêtant pas de le tripoter. L’air blasé, il croisa les bras, faisant un bruit rappelant qu’il attendait. Il étudia la peluche qui le ressemblait, celle-ci souriant. Lui, souriant ? Il fallait une épreuve de titan pour qu’il exprime un sourire. Certes, il avait de temps en temps adressé une expression de joie, mais qu’en présence du supérieur.
Soudainement, Xemnas le retourna. Il crut qu’il allait en faire une crise cardiaque. S’il avait un cœur, il aurait pu faire un tour sur lui même. Un baisé langoureux, il savait qu’il ne pouvait plus se tenir. Saix cherchait une solution, n’importe quoi, pour calmer les pulsions du supérieur. Sentant les mains du maître commencer à dévoiler un comportement luxurieux. Lorsqu’il entendu Demyx courir dans les couloirs. Une ampoule s’alluma dans sa tête, il profita d’un moment où Xemnas lui embrassait le cou, pour proposer :
« Hmm..Que diriez vous de sortir…Il neige, c’est tellement rare sur Illusiopolis »
Xemnas leva un sourcil, il regarda la fenêtre. En effet ! Il neigeait. Il scruta ensuite son amant. Saix rougissait. Il ne voulait aucunement frustrer le maître, encore moins qu’il lui fasse la tête. Il n’était tout simplement pas près. Le simili comprit, il s’assit, adressant un sourire à Saix pour le rassurer. Soit, une sortie n’était pas une mauvaise idée.