Chapitre 15
Marluxia avait passé une nuit atrocement indéfinissable, c’était Axel qui l’avait retrouvé à l’agonie, incapable de se tenir debout. Ces plantes qu’ils chérissait tant, était devenue…Affectueuse, un peu trop même.
La bonne âme qu’était le numéro 8 avait traîné le faux blond jusqu’à sa chambre, celui-ci ayant ordonné a ses similis avec le peu de force qui lui restait de remettre tout l’appartement en état, ainsi que lui. Ainsi, il fut entourer de simili qui le tamponnait doucement de désinfectant.
« Il va mourir, lui, il va mourir, il est mort, il va mourir, Vexen. » Ne cessait-il de répéter a longueur de temps.
Alors que les similis tentaient tant bien que mal de le soigner, Marluxia lui réfléchissait a un plan dans la douleur la plus profonde. Vexen avait oser s’en prendre a ses chéris, il allait donc s’en prendre aux chéris de Vexen.
Et qu’est-ce qui comptait le plus pour le scientifique huuuuum.
Son laboratoire !
Une lueur démoniaque apparu dans ses yeux tandis qu’un simili lui pansait les fesses. Il poussa un vif « Aiiieuuuh » Mais savait que c’était pour son bien.
Bientôt, oui, biensure, il sera sur bien, et là….
Pendant ce temps, un autre problème était apparut dans l’organisation du mariage. Une soirée de mariage sans animation n’était pas une soirée de mariage, ainsi, tous c’était mobiliser pour trouver une solution.
« On a qu’a se bourré la gueule et danser !
-Na ! »
Xaldin resta alors silencieux, s’appuyant sur un coude, l’air boudeur, Luxord lui posa une main sur l’épaule.
Larxéne elle, sculptait via ses kunais une petite statuette représentant Marluxia et Vexen, destinée a être sur la pièce montée.
Tous restèrent silencieux, réfléchissant.
Soudain Demyx se leva, un grand sourire sur les lèvres.
« Et si ont faisait une soirée Cabaret !!!!
-C’est ça, et où veux-tu qu’ont trouvent les danseuses ? » Lança Xaldin d’un air grognons.
« Ont a qu’a les tirer au sort parmis nous ! »
Xaldin crut s’étouffer, de même que Xigbar qui imaginait déjà son petit musicien dans une tel tenue, il était évidant qu’il ne tiendrai pas la soirée sans lui sauter dessus.
« Moi je suis contre » Lança le borgne.
« Pourquoi Xiggyyy, ça pourrait être marrant
-Ouais, ça pour ça, ça pourrait être drôle ! » Répondit Xaldin en lançant un regard au numéro 2.
Pendant ce temps, Saix était pencher sur la table, écrivant apparemment quelque chose, il se redressa et interrompit la conversation par un « J’ai fini « Sec et froid.
Xemnas ce pencha sur la carte couleur rose pastel, ornée de paillette et écrite en lettre d’argent
« Vous aimer les jolies choses ? Le choses qui brillent ? Qui vous mettent en valeur ?
Rendez vous ce vendredi, à 20 heures dans la salle principale du palais d’illusiopolis pour un grand défiler de costume de soirée et d’accessoire, avec eux, tout le monde vous remarquera ! »
Xemnas eue soudain les yeux brillants, il observa son berserk d’amour avec des yeux de chat potté. ‘C’est magnifique mon Saixounet, c’est si crédible si attirant si…
-Bon si vous voulez lui passer de la crème sur le dos, vous l’faites en privé !’ S’exclama Xaldin toujours boudeur.
Saix tendis alors sans un mot, la seconde carte qui elle semblait beaucoup plus sobre.
« Grand rassemblement de scientifique ce vendredi 20 heures au palais d’illusiopolis, soyez nombre.
Nb : tenue correcte exigé »
« C’est parfais !!! » S’exclama Larxéne, maintenant, reste plus qu’a demander a Axel de leurs glisser ça sous la porte !!! »
Pendant ce temps, Marluxia, marchant difficilement, ne tarda pas a accomplir sa vengeance. Il était inadmissible que ce scientifique de pacotille ne paye pas les pots cassés dans l’immédiat, ainsi, c’est sans aucunes délicatesse qu’il pénétra dans le laboratoire du blond. Prés a réaliser ses méchancetés.
Ainsi, tout tubes a essais présent fut renverser, tout rapports brûlés et ce sous le regard sadique du numéro 11.
Il posa ça et là quelques plantes de son cru, plante qui n’avait plus reçus le ration de nourriture depuis quelques jours et qui avaient excessivement hâte de goûter à de la viande.
Il se frotta les mains, impatient de voir Vexen subir sa vengeance. Et c’est serein qu’il sortit du laboratoire, allant constater l’avancement de la restauration de ça chambre.
Vexen arriva quelque temps plus tard, plongé dans des pensés scientifique passionnante, il ouvrit le laboratoire dans un état second. Puis, sans regarder, posa sur le bureau son rapport quand il sentit une morsure intense lui picoter le bras.
Il constata avec horreur qu’une plante l’avait mordus. Essayant tant bien de l’enlever, une autre s’était réveillée, et attiré par l’odeur de chair se jeta sur le scientifique qui hurla d’horreur. Un petit post-it vola dans les airs.
4,
J’espère que tu apprécieras mon cadeau, en remerciement de la merveilleuse nuit que tu m’as fait passer hier. Bien a tout, puisses-tu rassasier mes plantes .
Un petit dessin satisfait était dessiner dans le fond a gauche.
Quelques temps plus tard, Vexen, le tablier en lambeaux, quelques gouttes de sang coulant sur sa joue, qui sortit fou de rage de son laboratoire.
« Il veut la guerre, il l’aura, il va payer avec des intérêts ce qu’il m’a fait le travelos !"
Il rentra dans ses appartements, claqua la porte violemment, prit un grand morceau de carton et commença son œuvre dessinant le visage de Marluxia, le peignant, faisait des trous pour les yeux et la bouche et ajoutant un élastique derrière.
Il s’observa alors dans le miroir avec le masque sur la tête, satisfait de la ressemblance, il passa à la phase deux. Il sortait quelques produits chimiques qu’il conservait chez lui, puis ouvrit un vieux livre intituler « farces et attrapes par des scientifiques » et l’ouvrit à l’onglet mystère :p
Il était préciser de faire très attention de ne pas se trouver dans les passages lorsque le produit agit, il ricane, il était fier…
Il passa plusieurs heures a préparer l’étrange mixture, la faisant bouillir puis reposer, puis constata qu’elle était réussie, il la mit dans un flacon. Et accourut à la recherche de sa victime. Ne la trouvant pas, un sourire sadique sur les lèvres il claqua des doigts, et le numéro 8 qui apparut.
« Tu veux encore aller chez Marluxia ? »
Vexen hocha la tête face à la tête blasé du simili de feu.
« Non, je voulais te remercier de tes services … »
Axel fronça les sourcils, le scientifique semblait apparemment très sincère.
« Que dirais-tu d’un bon chocolat chaud ? » lui proposa-t-il en montrant du doigt la direction de sa chambre .
Là, il fallait avoué que le blond avait touché son point faible, il hocha la tête de haut en bas, chocolat, depuis le temps qu’il n’en avait pas déguster, en faite, depuis qu’il était devenus l’esclave de l’organisation XIII.
Il entra dans l’appartement du numéro 4, s’installant pendant que le scientifique préparait les tasse, n’oubliant pas de verser la fameuse mixture. Une fumé rosée se dissipa, prouvant l’activation du produit, satisfait y prit le masque de Marluxia et alla se poser prés d’Axel.
Le numéro 8 se hâta de boire le chocolat encore bouillant, tel une drogue.
Vexen mis alors rapidement le masque de Marluxia, voyant Axel divaguer doucement, les yeux de celui-ci se plissèrent…Puis soudain, à la vision de l’être aux cheveux rose, des petits cœurs apparurent dans ses yeux.
« Yes ! Ca marche » pensa Vexen.
« Tu….tu es magnifique Marluxia…Merveilleux….Ooooh….Tu es tel cupidon me plantant une flèche dans le cœur, sauf que je n’en ai pas »
Vexen prit une voix de fille pour le remercier, puis feints une envie pressante afin de retirer le masque. Une voix revenus, Axel rêveur prit un air inquiet.
« Vexen….Ou il est Marluxia ?
-Il est partit, il est trééééés malade… »
Oh, mon ange serait malade ? Je m’inquiet, pardon Vexen je dois aller le voir, tu comprends ? Je l’aimmmme.
-Oui, oui Axel, je comprend, allez, va donc consoler ton oisillons.
-Marluxia, mon amour éternelle, j’arrive ! » Lança t’il en sortant.
Vexen ferma la porte, s’appuyant dessus il pleura de rire à l’idée de la tête de son cher rival.
Décidément, son filtre d’amour allait faire des dégâts .
Suite du chapitre 15
Un simili vint toquer à la porte de Vexen, et un autre à celle de Marluxia. Tous les deux lurent la lettre, se réjouissant d’avance. Le scientifique chercha désespérément un vêtement adéquat, pendant que Marluxia fouinait pour une robe. Tout se passe comme ils l’avaient prévus.
Côté Marluxia, il testait ses plus beaux vêtements, hésitant. L’air timide, cherchant à trouver la plus belle. Mais, une chose le tracassait : ses cheveux. Il enleva la perruque, regardant avec horreur qu’ils poussaient trop lentement. Il sera donc contrant de remettre une perruque. Cherchant aussi celle qui pourrait être assortit à ses vêtements. Puis, une chanson se fit entendre au lointain… L’oreille tourné vers cette voix, il s’avança jusqu’à son balcon. Un son de cithare vint se mêler aux paroles. Marluxia crut au début que c’était Demyx qui lui chantait quelque chose. Puis, lorsqu’il se pencha pour voir de plus près, il aperçut Axel étrangement vêtu. Il ressemblait à un poète italien. L’instrument de musique sur ses genoux. Un chapeau ressemblant à un pouf sur la tête, avec une plume. Des vêtements de velours. Il s’était collé deux longues et fines moustaches qui finissaient par s’entortiller.
« Maaaaa que tout est belle rose » prononça t’il d’une voix mielleuse. « Me amooorrrr, je t’offre la plus belle chanson….pour te soigner de tes maux »
L’air interrogateur, Marluxia ne comprit pas le comportement soudain du simili. N’était-il pas habituellement … Blasé ? Il se frotta la tête, du moins, sa perruque. Lorsque la chanson débuta, il crut entendre une mamie hystérique remettre son dentier tout en parlant. De temps en temps les intonations étaient l’équivalent d’une fourchette raclant une assiette, un crissement de frein rouillé, bref une abomination.
« Arrête, tu vas me rendre sourd ! Pauvre demeuré ! » Cria Marluxia en lui balançant un vase (vide)
Le numéro huit disparut à temps, pour réapparaître aux côtés du numéro onze. Il l’enlaça tendrement, le regarde hypnotisé.
« Marlu… Depuis que je t’ai vu, j’ai tout de suite su que nous étions fait pour être ensemble…. Tu es le soleil de ma vie, la nuit de mes nuits, me amor… Partons ensemble et fondons une famille… Je ne peux plus attendre que cette distance nous sépare ! »
« Axel … qu’est ce qui te prend ? » rétorqua t’il l’air dégoûté, le rouquin embrassaient affectueusement une main, remontant le bras. « Un simili n’a pas de cœur… Il ne peut pas aimer… C’est scientifiquement impossible !! »
« Maaaa rien n’est impossible ! L’amor …. Même une machine pourrait en aimer une autre…. Marlu… Mon tendre amoooor… Ma rose, partons loin d’ici, je te trouverai le plus beau des mondes… Un château rien que pour nous deux et un immense jardin avec les plus belles plantes… »
Marluxia malgré son mal au postérieur, tenta de reculer, fuyant le simili qui se jetait sans cesse sur lui. Prolongeant ses idéaux pitoyables :
« On ferait l’amour sur la plage, chanterons des chansons qui parleront de fleurs, Tu verras, on sera tellement heureux…. »
« Mais, tu es fou…. Ce n’était pas Roxas que tu aimais ? » Demanda Marluxia outré.
« Roxas ?... Il se plaignait sans cesse… il voulait revoir Naminé… Rien de plus… Mais maintenant, je t’ai toi… »
Un hurlement s’empressa dans chaque couloir, sur aigue, témoignant un dégoût profond.
Le monde tournait à l’envers ! Ce n’était pas possible ?! Tout le monde devenait fou… Marluxia ne reconnaissait plus rien.
Côté Vexen, préparatif. Il repassait son costar cravate, de couleur blanc. Bien sur, le blanc rappelait la blouse d’un scientifique. Dans un aspect plus chic, plaisant, une tenu correcte, tel qu’on l’eu demandé. Il relisait sans cesse le papier. Un sourire large. Enfin ! Il allait pouvoir continuer son travail, sans être déranger. Une conférence, parfait ! il se peut qu’ils aient découvert des merveilles en son absence. Riant dans sa barbe, il imaginait avec jouissance des nouvelles fabuleuse, que rêverait seulement un scientifique.
Le lendemain, le jour J, les similis attendaient patiemment l’arrivée des deux à marier. Xemnas regarda avait admiration la décoration. Des fleurs blanches et rouges partout, un décoration digne d’une célébration. Des similis colombes voletaient. Un tapis rouges, des bancs, le tout dans une ambiance d’église.
« Mais pourquoi on est vêtue ainsi » rétorqua Xaldin
« Le jaune de cette robe te va à souhait, belle l’a donnée pour toi » répondit Luxhord. « Regarde la mienne, Cendrillon était sur que ça m’irait ! »
« Te plains pas… C’est pas toi qui porte la robe de Kairi » grognant Xigbar rouge de honte.
« J’ai remarqué une chose Xiggy… » Murmura Xaldin d’un sourire vicieux
« Quoi ? » demanda t’il en tirant la robe rose.
« Tu as un petit cul… » Répondit t’il en ricanant.
Xigbar tomba à la renverse. Et malheureusement, au moment où Demyx arrivait. Celui-ci écarquilla les yeux, puis, éclata de rire.
« Trop forte cette idée de karaoké… » Annonça t’il en se tenant contre un pilier « je sens que ça va être mémorable »
Le borgne devint rouge comme une tomate. Il se retournant, suppliant Demyx du regard. Le simili courut le rejoindre lui offrant un câlin digne d’un petit enfant.
« Luxhord…
quoi… ?
Dit moi que je rêve…
Non tu ne rêves pas…
Xigbar tu es gay !!!! »
Xigbar tomba à nouveau au sol. Pas à cause de ses talons aiguilles, mais de la stupidité des propos du numéro 3. Xaldin pleurait de rire à son tour. Cependant, Luxhord témoigna sa présence, en passant un doigt le long de la colonne vertébrale du simili, bien lentement.
« TOI ! Tu refais encore ça… Je te jure que tu vas trépasser » hurla Xaldin le nez en sang.
Luxhord prit un air charmeur, battant des cils, imitant une bise.
« Ooooh… Mon grand ! Je lis tes vilaines pensées… Vas y ose »
« Ouua je savais pas que cendrillon et Belle étaient lesbiennes… » Supposa Demyx en scrutant les deux similis.
« Demyx…Hm…C’est pas cela mais… C’est pas de ton âge » soupira Xigbar d’une mine blasé.
Soudainement, les portes s’ouvrirent, Larxene arrivant complètement exténué. Des signes des mains, elle expliqua qu’ils arrivaient. Chacun prirent leur place. Saix en prêtre. Demyx et Larxene en dame d’honneurs. Le reste en plus de similis prenait le rôle de la famille.
Sujet: Chapitre 15: La vengeance du scientifique