chapitre 14: Le complot

Chapitre 14

Marluxia lui, réfléchissait dans sa chambre, assis, tenant son bisounours rose dans les mains, il rageait, Vexen allait payer, c’était évidant, ooooh oui, c’était la guerre ! La guerre !

Il prit quelques instants de réflexion, en effet, il paraissait complètement stupide mais il ne l’était pas, la ruse, les piéges étaient pour lui un rayon connus de sales tours a réaliser. Il prit en considération également le fait que Vexen se soit introduit dans sa chambre pour y insérer le dit shampoing. Très bonne idée, il note, maintenant, qu’allait-il faire ?

Un sourire sadique se dessina sur ses lèvres.

En effet, l’androgyne avait apprit auparavant que le scientifique était partit. Ce qui lui laissait le champ totalement libre afin de déchaîner ses idées monstrueuses, et pour ça, il en avait.

Un éclaire apparut dans son esprit, au diable le travail, il avait un autre boulot a faire, ce venger.

Il entra dans une pièce caché de son appartement, il y trouva une veille paire de pantoufle rose a tête de lapin beaucoup trop petite, il continua ses recherche, une aiguille ? hm oui, ça pourra toujours servire… Se disait-il. Bref, le plan était déjà dans sa tête, restait a trouver ce qu’il fallait, Vexen allait avoir non seulement le sommeil perturbé mais tout son quotidien, il allait morflé c’était évidant, se disait-il en imaginant les moments de souffrance qu’il allait lui faire subir.

Il claque des doigts, demandant à Axel de venir, celui-ci avait retrouver ses cheveux a une étrange vitesse.

« Tu as retrouvé tes cheveux ! C’est magnifique chéri ! » C’était exclamé le numéro 11 dans un élan de gentillesse. Axel lui, le regardait toujours d’un air blasé.

« Dit moi beau rouge, Vexen n’est pas dans ses appartements huuum ?

-Non

-C’est merrrveillleuuuux ! Emmène moi donc là bas chéri, et tu auras tout ce que tu veux ! »

Axel avait l’étrange impression d’avoir déjà entendu ça quelque part, bon après en moins hystérique, mais soit, il s’en fichait de toute manière, ce genre de querelles mettaient l’ambiance.

« Une minute » Fit Marluxia, je reviens, d’accord ?

Il gambade vers sa chambre, chatonnant un air inconnus, puis reviens avec une caisse énorme.

« Tu veux bien m’aider Axy-Chou ? Ooh merci, tu es un ange ! »

Ils arrivèrent devant la chambre de Vexen, Axel ouvrit la porte et Marluxia, prit dans son hystérie, prit Axel par le coup et lui fit une bise sur la joue, le remerciant, celui-ci sentit du sang lui couler des narines il s’écroula au sol, devant Marluxia étonné.

« Oh le pauvre chéri, c’est l’émotion… »

Il leva les yeux en direction de l’appartement de Vexen, la porte ouverte le narguait énormément. Ca allais barder !

Il entra dans l’appartement du numéro 4, et c’est un intérieure très sobre qui l’accueillit. Il se frottait les mains tout en observant l’endroit, il y avait du dégât a faire. Il jeta un œil au pantoufle du scientifique et avec un sourire sadique, les remplaça par les pantoufles roses d’enfant bien trop petite pour ses pieds.

Ensuite, il se posa sur le lit, confortable certes, mais pas suffisamment, son regard se tourna vers le réveille du scientifique. Il hésité, huuum, je le fais ou j’le fais paaas ? Se demanda-t-il.

Trop séduit par cette idée, il se leva et prit le réveille.

« Alors comme ça ont se réveille a 8 heure mon petit Vexen ? Huuum, ça va changer….Alors, réglé l’heure….4 heure….non…3….Oui ça sonne bien trois ! «

Il changea l’heure de manière à ce que le réveille qui affichera 8 heure, sonnera en faite à 3 heure du matin puis, continua son avancé, il observa la lampe de chevet du scientifique, et se demandait si il n’y avait pas moyen de changer ceci en objet démoniaque. Un aiguille posé sur sa table de chevet répondit a la réponse, il la glissa doucement dans le câble d’alimentation prés de la prise, ainsi, si il la branche, il allait se prendre un court circuit. Il se frotta les mains, sa vengeance était géniale.

Il continua, croissant la clinche de porte des toilettes, il constata que la clinche extérieur et intérieure étaient différentes, celle de l’extérieur un clinche pour appuyer, celle de l’intérieur que l’ont devait tourner.

Il imagina alors une scène bien agréable, Vexen, a peine lever ayant une envie présente se pressant au toilette et….se prenant la tête dans la porte.

Jouissif, il allait donc démonter les clinches et les inverser. Une fois cela fait, il ferma doucement la porte. Se dirigeant vers la salle de bain.

Un relookage s’imposait il prit le pot de peinture rose et en peignit les murs, chantonnant Baby girls d’Aqua.

Une fois son travaille fini il admira son œuvre, un mur rose avec des pâquerettes le parsemant il voulait le même intérieurs. Il passa alors devant le lavabo, il constata la distance qui séparait le tube de dentifrice et celui de cirage a chaussure c’est a dire, une distance minime , et sans attendre, inversa les deux tubes.

Il sortit de la salle de bain, fier de lui, il se dirigea vers le salon, et principalement vers le bar.

Ouvrant celui-ci il constate qu’il n’y avait que du Coca et de la vodka….Mais c’était suffisant pour faire un salle tour.

Il prit la bouteille de coca et la secoua de toutes ses forces pendant dix minutes, celle-ci n’était pas encore entamée, tant mieux, ça allait être plus drôle. Pour ce qui est de la vodka, il trouva rapidement l’idée infaible grâce a la cuisine, et surtout, au sel de cuisine qu’il versa dedans.

Il referme le bar et se dirige vers le bureau, il s’étonne de voir un appareil de communication humain en ses lieux, mais savait comment ça marchait.

« Alooors répertoireuh….Service international des sciences, oui, non supprimons…. Laboratoire de la forteresse oublié, supprimé ! Hihi j’adore ça, Supprimer, Supprimer, Supprimer Hahaha »

Une idée encore plus drôle lui traversa alors l’esprit, le répertoire une fois vide, il pouvait tout simplement le remplir, ainsi, il remplaça les numéros des labos par d’autres numéros et un sourire apparut sur ses lèvres.

Fier de lui, satisfait, il se frotta les mains, fit le tour de l’appartement, vérifiant n’avoir rien oublier dans ses piéges, et sortit heureux, fermant la porte et rendant la clef à Axel. Il partit en gambadant, chantonnant.

A l’autre bout du palais, un autre complot se montait, les membres de l’organisation ayant oubliés leurs travails c’étaient décidés a organiser le mariage de Vexen et Marluxia.

« Bon alors, quand organiseront nous cette petite fête ? » S’extasiait déjà Larxéne prête pour les préparatifs.

« D’ici une semaine le travail aura diminué, et puis on aura le temps d’organiser tout ça

-Y aura d’la boissons ? » Demanda Xaldin d’un air grave.

Un silence profond se fit dans la salle

« Ca va, j’me tais… »

Soudain, Demyx timide, leva la main

« Question peu être stupide mais, comment va t ont faire pour les attirer ici ?

-Ont aura qu’a inventer une raison différente pour chacun » Répondit Xigbar.

Le musicien lance un regard doux vers son borgne préféré, il n’osait s’avouer qu’il préférerai que se soit son mariage a lui que l’ont prépare, il s’imaginait déjà, vêtu de blanc porté par son merveilleux Sniper.

Il en soupira.

Mais rapidement il fut sortit de sa rêverie.

« Bon très bien dans ce cas, ont fera ça dans une semaine »

Luxord se frotta les mains

« Comme ses merveilleux ! Organiser un mariage, trouver la robe du marier, servire le champagne, la pièce montée tout ça

-Ohhh toi ça va, je te vois venir, c’est hors de question ! » l’interrompis Xaldin d’une voix lassé.

« Pourquooi Xaldy chou ? Je serais pas mignon en robe de mariéée ? » Insista Luxord.

Il y en un profond silence

« J’ai entendus assez d’horreur pour aujourd’hui, je sors » Lança Xigbar. « Et puis, j’ai sommeil, en espérant que cette vision ne vienne pas perturbé ma nuit. »

Demyx se leva sitôt, accompagnant le numéro 2.

Plus tard dans la soirée, Vexen était rentré, il c’était aussi tôt couché et endormit d’un sommeil profond.

Le réveille sonna trop tôt, il soupira de lassitude, il était donc rentré si tard ? Il se sentit aveugle, incapable d’ouvrir les yeux, il se leva, mettant ses pantoufles qu’il trouvait vachement rétrécies, il entra tant bien que mal les pieds dedans, les compressant dans une atroce douleurs avant de se dirigé vers les toilettes.

Les yeux mis clos, il s’appuya sur une clinche inexistante et se cogna contre la porte, il essaya plusieurs fois avant de réalisé qu’il se trompait dans la manière de l’ouvrir.

Trop dans le gaz pour réaliser l’état de ses pantoufles il jura d’en changer, il rentra a nouveau dans sa chambre et ouvrit la lampe de chevet, en vint… Inquiet, il s’abaissa au niveau de la prise, elle était débranché.

Au moment où la prise entra en contact avec l’électricité, l’aiguille produisit comme prévus, un court circuit, Vexen hurla, faisant un bond en arrière. Ses cheveux hérissé sur la tête comme un hérisson. Il se releva, ce n’était qu’un simple court circuit, et ça l’avait bien réveillé. Allant dans son salon, il constata avec catastrophe que, l’horloge affichait 3h30 du matin. Il ne comprends plus là.

Dépité, il ne comprit toujours pas, mais essayera de comprendre plus tard. Il alla donc se recoucher.

Quelques heures plus tard, il fut debout, pas en forme, il décida alors d’appeler le labo pour dire qu’il ne serait pas présent aujourd’hui, après tout, une journée de congé lui aurait permis de travailler ses recherches.

Il sortit du lit, assis sur le rebord il fait trop sombre pour qu’il constate encore l’état de ses pantoufle, il se dirige vers son bureau et se servit un verre de coca, celui-ci une fois ouvert lui explosa à la figure. Décidément, ce n’était pas son jour aujourd’hui. Bref, il s’installa a son bureau une fois débarbouillé et prend son téléphone, appuyant sur le bouton de la mémoire où était indiqué le nom du labo.

« Service similis pour les alcooliques anonymes bonjours ? «

Il sursaute à ces mots affichant une mine intrigué

« C’est quoi ce délire ? »

Il raccrocha sitôt, essayant un autre numéro.

« Salut, besoin d’un beau mec pour t’envoyer au 7eme ciel ? »

Il raccroche, un air choqué se dessine sur son visage. Il baisse alors les yeux sentant ses pieds le faire souffrir, il constate alors avec horreur ses pantoufles.

Il commençait doucement a comprendre…

Enlevant ses horrible pantoufle, il décida d’aller à la salle de bain se brosser les dents, en ouvrant la lampe il constata avec horreur l’état de ses murs…

« Lui, il est mort !! » c’était-il dit en parlant du numéro 11.

Mais cependant, sage comme il était, il préfère la patience, préparant un plan infaible au simili rose. Et c’est dans une salle de bain rose que Vexen commença a se brosser les dents

Evidement, par réflexe, il prit le tube qui initialement était le tube de dentifrice. Un goût acre se dispersa dans sa bouche alors que la substance visqueuse recouvrait ses dent

MARLUXIAAAAAAAAAAAAAAAA cria-t-il d’une vois étouffé par le cirage.

Suite du chapitre 14

Alors comme cela il foutait le bordel ! Trafiquant, changeant les numéros, repeignant sa chambre ! Il allait voir ! Une guerre, parfait, sans le moindre problème, ça allait saigner et là, il aurait comprit qu’il ne fallait pas se foutre de lui ! Il allait succomber, il l’entendait déjà pleurer, implorer pardon ! Mais là, s’en était trop. Vexen se dirigea vers son téléphone, il prit son annuaire et appela un numéro. Tout allait s’organisation tel qu’il le souhaitait. Il s’en frottait méchamment les mains. Le travail… Après sa vengeance. Il savait une chose, à cette heure, il est partit à sa réunion pour présenter ces horreurs de fleur aux couleurs sucreries. Il ne prit pas la peine d’appeler Axel. Il fera le coup seul, signé de sa main…

Arrivant devant la précieuse chambre de Marluxia, il glaça la poigné, la porte tout court, qu’il brisa sans le moindre problème. Une fois rentré, il examina avec stupeur, l’horreur de décors, rose partout, des poupées, peluches, figurines représentant des êtres qu’on nommait : Kawai. Des fleurs assorties écœurant toujours aux couleurs flashes. Première chose qu’il fit, il prit toutes ces babioles et jeta le tout hors de la salle. Il ordonna à des similis de bas niveau, d’emmener le tout dans les souterrains. Aussitôt dit, aussitôt fait. Il vida complètement l’appartement. Plus rien, juste les murs roses. Même la baignoire avait trépassé. Il regarda le grand vide, un sourire narquois. Allez au boulot ! Il demanda à des similis berserk de démolir certains murs, ce qu’ils firent avec une telle délicatesse. Les morceaux furent transportés avec le reste. Il ne restait plus qu’une immense salle rectangulaire. Il construit un immense mur de glace pour boucher la baie vitrée. Avec une fraîcheur pareille, la glace tiendra éternellement.

La commande fut enfin reçut. Des toilette et une tonnes de matelas. Il fit installé les couettes sur les murs, au sol et sur le plafond. Juste un petit carré pour le WC. Il alla chercher un vaporisateur pour désinfecter l’air puis ferma la porte qu’il fit réinstallé par la suite. Une porte blindé, épaisse et lourde. Enfin, il ne manquait plus qu’un seul endroit : la serre. Ooooouuuh que de mal… Il allait souffrir là. Ces amours, Vexen s’en foutait, il allait leurs montrer la colère d’un scientifique. Il remplaça l’eau par une substance étrange, qu’il avait préparée. Il appuya sur un bouton, pour arroser toutes les plantes. Partant, il s’enfuit tel un chat, se dirigeant dans sa chambre, attendant l’heure de gloire.

Allongé dans son lit en cercle, Zexion regardait le plafond. Qu’est ce qu’ils avaient tous à vouloir préparer un soit disant mariage entre Marluxia et Vexen. Il prit un air déprimé, serrant une peluche dans ses bras. Il ne pouvait pas laisser cela. Son cher ami allait subir la pire atrocité. Puis, quelqu’un toqua à la porte. A en examiner la force, cela ne pouvait être que Lexaeus. Il autorisa le simili à entrer. L’air gêné, le grand guerrier entra. Tout de suite, il fut prit par une admiration, regardant le petit être enroulé dans ses couvertures.

« Hum…On voulait savoir si tu viendrais pour le mariage…Après tout, tu es partit rapidement, comme me là dit Demyx…Je pensais que t’en parler te ferait du bien ! »

« Tu es sur de ce que tu dis ? Que cela me fera du bien » posa t’il en levant un sourcil.

Le simili regarda le sol, l’air gêné, visiblement, Zexion n’était pas de bonne humeur. Du moins, la manière dont il avait posé la question, le faisait dire. Il resta silencieux un instant, figée, puis hocha un « non ». La jalousie de Lexaeus revint, il faisait de son mieux pour rester stoïque, mais, cela était tellement dur. Même le plus sage pour tomber dans l’ivresse de la rage.

« Tu sais Lex… Je trouve que ce baratin est consternant… Vexen ne pourrait jamais supporter ce mariage… Il va péter un câble et c’est tout ce que ça engendrera ! » Expliqua Zexion en serrant d’avantage sa peluche.

« C’est juste une plaisanterie, rien de plus ! » assura t’il.

« Une plaisanterie… Je ne vois pas ce qu’il y a de drôle la dedans, appart si tu tiens tellement à finir une faux sous le coup ou congelé comme un homme de Cro-Magnon ! » Rétorqua t’il d’un air franc. « Après tu fais ce que tu veux, je ne veux aucunement être dans votre complot ! »

« Tu ne sais plus plaisanter, tu commences à te faire vieux mon cher » répliqua t’il en ayans un rire amusé.

Zexion lui tourna net le dos, ce qui eut pour effet de brisé le moment de gloussement du guerrier. Il ne voulait plus le voir, du moins, pas maintenant. Ces pitreries l’énervaient, même lui ne comprenait pas pourquoi. Il était habituellement le premier dans la liste de ceux qui cogites des plans machiavéliques. Là, il n’appréciait pas. Il lui demanda même de partir, d’une voix assez sèches. Ce qui fit mal au simili. Exécutant la demande. Il partit en courant, claquant la porte. Il n’en pouvait plus. Pourquoi il n’arrivait pas ?... Il s’en voulait, mais à la fois, c’était meilleure idée pour que Zexion ne soit plus derrière Vexen. Puis d’un côté, il voulait tout pour le rendre heureux. S’enfuyant, il hurla de rage, pour estomper cette colère qui faisait trembler.

Côté la troupe des petits plaisantins, Demyx aidé par Larxene cousaient une robe de mariée. C’étaient les plus doués dans l’art de la couture. Luxhord avait fait les commandes, pour la date prévue, c'est-à-dire dans quatre jours. A un moment, Xigbar arriva, une feuille à la main, il voulut jeter un coup d’œil, histoire d’être au courant de ce qui se passait. Il surprit Demyx vêtue de la robe, Larxene faisant les ourlets. Il perdit la tête, tombant au sol et se fut Xaldin qui le trouva lamentablement allongé sur le parquet.

« Hey ! Regardez qui je viens de trouver au sol… »

« Xiigggggyyyyyyy »

« Bouge pas.. Sinon je vais … »

« Aiiiie ! »

« Je t’avais prévenue ! J’avais encore mon aiguille en main »

Rentrant l’air paisible, Marluxia se dirigea vers son bureau pour poser sa pile infernale de documentation. Il avait en plus de cela profité de sa journée, pour acheter des nouveaux vêtements, parfums et maquillages. Et pas pour n’importe qui… Il avait en idée de saouler Zexion suffisamment pour qu’il se vêtisse ainsi…Il avait un sourire, posant les merveilles sur la table.

« Hu hu hu… Regarde moi ces merveilles… Il va être beau le petit Zexyyyyy….Lexaeus va avoir une de ses poussés d’hormones… Une soirée avec son tendre amour… » Gloussa t’il regardant la jolie robe violet crème qu’il avait prit. Des petits sandalettes, barrettes, un parfum et de quoi lui faire un visage très séduisant. Il ne cessait de rire, sautant sur place.

« Ce que tu vas être beau… Mais, faut que je trouve un moyen pour qu’il se saoule… Hmmm difficile… Je suis sur que j’ai noté ça quelque part… allons voir dans ma chambre»

Se dirigeant vers ses appartements, il sautillait tel bambi, les similis basiques ne comprenant pas ce comportement. Une fois arrivé devant la porte, il tenta de l’ouvrir, ayans du mal…

« Hmmm… Je devrais remettre de l’huile… »

Et là, se fut l’effroi, un cri fut poussé. Sa chambre ressemblait à celle d’un hôpital psychiatrique. Il vit sur un des matelas un mot. Marchant d’un air abasourdit, il attrapa le bout de papier :

A mon cher rival !

J’espère que la décoration te plaira… Je me suis dit que le rose ne t’allais pas depuis que tu portes cette magnifique perruque … Alors j’eux pensés que de cette manière, tu te sentirais plus dans ton élément

Marluxia pleura de rage, posant ses mains sur son visage. Il eut un blanc, ayans un mauvais pressentiment. Courant l’air angoissé, il se dirigea vers sa serre. Il fut soulagé quand il arriva à l’intérieur, regardant ses bébés qu’il embrassa. Mais, il sentit quelque chose lui caresser le dos. Riant du à ce touché, il se retourna et vit une liane. Oh rien de grave. Puis, lorsqu’il voulut s’avancer, il s’aperçut trop tard qu’il avait les jambes enroulées. Il ne comprit pas, mais les plantes s’agitèrent tous, commençant limite à le déshabiller. Il cherchait à les contrôler, seulement rien ne marcha, il hurla, appelant un simili, mais rien…

« Veeexxeeennnn salopart…. Il a du jeter un produit… YYYYAAAAA »

Le pauvre tenta désespérément de fuir les lianes chaudes… Le pauvre allait finir… Par un nuit.. Hard et non consentante… des cris s’entendant aux loin.