Chroniques de Nobodies
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 Chapitre 1

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AuteurMessage
Demyx
The Melodious Nocturne
Demyx


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Date d'inscription : 24/05/2006

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MessageSujet: Chapitre 1   Chapitre 1 EmptyMar 30 Mai - 22:13

Demyx__Chapitre 1

« Mon nom est Demyx. Je sais, commencer une présentation par son prénom est signe d’un long monologue déblatérant sur sa vie entière. Pourtant, on peut me résumer par un simple et vulgaire mot : trouillard. Eh bien, oui, je suis un trouillard, un peureux, un incompétent, une lopette ou tout autre synonyme. En fait, ce sont les surnoms favoris que bon nombre de gens utilisent pour me décrire. Je n’ai pas de volonté et encore moins de courage. Comment avoir la volonté lorsque vous êtes un être sans vie ni cœur? Non, je me rectifie. J’ai bel et bien un cœur ; seulement, il ne m’est pas totalement propre.

Je suis né dans la Citée Noire. Bon, "naître" est une façon de parler, surtout si le premier jour de votre existence débute à vos 17 ans. Difficile de comprendre comment, ni même pourquoi, mais pour "nous", il est plus facile de ne pas tenter d'y comprendre quelque chose. Bref, je suis donc né dans cette cité où jamais la lumière, autre que ses petites ampoules éclairant les ruelles ou encore cette lune géante et imposante, ne montra le bout de son nez.

Je m'éveillai avec un mal de tête intense – vous savez, celui qui vous donne l’impression d’avoir reçu un coup de massue derrière le crâne. J’étais donc assis au sol, addosé à la porte vitrée d’un grand immeuble illuminé, parsemé de divers panneaux publicitaires. J’avais la vue embrouillée - ainsi que les idées. Je tentai d'abord de me remémorer comment je m’étais retrouvé ici - ou du moins, un simple souvenir d’un évènement précédent - mais sans succès. Je me relevais alors avec pour seul appui une poignée d’argent. Je tentai d’entrer dans la grande demeure pour demander de l’aide, mais ce ne fut rien d’autre qu’un second échec. Il faisait passablement frais et un bruit de résonance se faisait entendre à peine à quelques mètres de distance. Je me tournai vers la ruelle : quelques marches placées en demi-cercle autour des portes vitrées en donnait l’accès. C’est à ce moment que je fis la découverte non seulement de la provenance de ces bruits sonores mais aussi de ce qui était à mes yeux - aussi étrange que cela puisse paraître - magnifique. Des milliards de gouttelettes d’eau tombaient du ciel, comme si celles-ci se plaignaient de ce qui se trouvait au sol, se fracassant sur les toits des immeubles et le sol boueux des ruelles, provoquant leur lamentation. Un petit toit me protégeait de cette rageuse confrontation. Je descendis sur la première marche, l’eau m’engouffrant rapidement sous cette averse. Mes vêtements étaient devenue lourds, mon visage était détrempé et mes cheveux courts me collaient à la peau. En l’espace d’un instant, j'oubliai toute les questions troublantes qui avaient pu survenir depuis mon réveil. Mais rien n’est toujours facile ; rester ainsi aurait bien pu être parfait mais, je me sentais… observé. Et c’est là que commença ma première séance de trouillard 101. Enfin bref. Je me mis à regarder dans tous les sens, cherchant quelqu’un dans les parages. Mais non, il n’y avait personne - du moins, c'est ce que mes yeux voyaient, mais c'est que mon sixième sens ne voyait pas de cette façon. J'étais sur les nerfs et dix mille questions défilaient dans ma tête en un seul coup. La question sur laquelle je m'arrêtai finalement était celle qui en même temps venait de me faire réaliser de mon passé inexistant : "qui suis-je réellement?"

Qui suis-je réellement ? Voilà là question classique qui passe et repasse sans cesse dans notre tête, nous, les Nobodies, les êtres dépourvus de sentiments autres que le malheur d’exister pour n’être en retour qu’un rien. Bref, Je ne suis rien d’autre qu’un amassie de souvenirs, les souvenirs d’une personne. Ma simple façon d’agir ou de parler n’est qu’une vulgaire copie de cet homme. Rien d’autre qu’une copie sans intérêt. Voilà ce que nous sommes réellement - du moins, c’est dans cette mentalité que nous avons été élevés. Est-ce que j’y crois ? Difficile à dire même encore aujourd’hui. Choisir entre ce qui vous a toujours été enseigné, cette façon de voir et de penser que vous n’êtes rien en vous le rappelant dans vos gestes ou vos paroles, ou encore, être ne serait-ce qu’un tout petit peu vous-même. »

j’étais totalement perdu dans cette penser pour le moins des plus effrayante. Savoir ou du moins donner un doute a votre propre existence est quelque chose de quelque peu troublant. C’étais du moins une révélation qui sonnais faux a mes oreilles. Il devais y avoir une autre explication plus logique, une amnésie temporaire par exemple. Alors que j’étais totalement sur une autre planète, tentant de me convaincre moins même que tout irais bien, j’ai violemment percute un homme plutôt de grande taille et imposant- voyez aussi que je trouve toujours tout imposant et grand, alors ne vous fiez pas a cette description.

Il retourna un bref moment son visage cicatriser, aucunement rassurant, vers moi, me scrutant de son unique œil jaune perçant, l’autre dissimuler par un cache œil du a une infirmité, selon moi, a moins que Xigbar, l’homme imposant en question, est l’impression de se sentir menaçant avec son cache œil, se qui n’est pas tout a fait faux dans mon cas, mais bon même une souris pourrais me paraître menaçante. Qu’importe, je continue.

Il ne garda pas très longtemps son attention sur moi et continua son chemin. Me croyant hors de danger, j’avais tenter un éclipse subtile laissant l’homme continuer ça recherche en paix, mais comble du hasard, c’est moi qu’il cherchait. Bref c’est en me retournant que je fit face à un grand manteau noir portez par nul autre que Xigbar. Il s’étais déplacer de façon que je n’aurais pus vous expliquer a se moment. Bien sur, je ne suis pas rester gentiment poster devant lui a attendre qu’il m’abatte, mais je ne me suis pas non plus enfuie a toutes jambes du au fait que celle-ci me faisaient légèrement souffrir et que la peur me clouait sur place. Je ne pus donc rien faire d’autre que laisser place a un petit cris de surprise – ou plutôt un cris de femme en détresse, voyer aussi que c’est le premier son que j’ai sortie d’ailleurs- suivie d’un magnifique placage au sol.

L’homme me tendit ça main, se qui ne me rassura pas le moins du monde. Il finis par laisser un soupire d’impatience – ou du moins se qui semblais en être un - et me pris par le bras, sans me laisser le temps de réagire ou dire quoi que se soit. En aurais-je été capable ? Jamais je n’avais prononcer la moindre parole, comment savoir ? Bref, je me fis traîner de force – bon il est sur que je ne me suis pas débattu, ni même protester ne serais-ce qu’un peu, mais ça restais que c’étais contre mon grés – dans les ruelles, de cette sombre ville. Mes jambes ainsi que mes bras quelque peu meurtrie par la dure épreuve qu’on me faisait subir, mais aussi par les multiple tremblement qui secouait tout mon êtres. Je n’avais pas la moindre idée d’où on m’emmenait, ni même pourquoi. imaginer le scénario qui mijotais dans ma tête, je vous laisser y penser. Donc, sur tout le chemin, Xigbar ne m’adressa pas le moindre mot, ni regard, excepter quelque un qui semblais méprisant et colériques, ceux-ci me faisant frémir un peu plus a chaque foie, comme si je n’étais pas assez sur les nerfs en se moment. Comble du bonheur il finis tout de même par s’arrêter.

Nous étions, situer devant un grande forteresse d’ivoire et une… falaise. Bien sur j’ai tout de suite imaginer qu’il m’y jetterais, mais j’étais en plein paranoïa il faut comprendre – du moins essayez, pour mon peu de crédibilité- C’est a se moment que j’ai appris l’existence de se que nous appelons portail de ténèbres, mais bon il est plus approprier de l’appeler vortex pour simple raison que c’est moins effrayant de savoir que nous pénétrons un vortex qu’un portail de ténèbres. C’est aussi de cette manière que j’ai compris comment s’y étais pris le pirate – en l’occurrence Xigbar- pour c’être déplacer de façon aussi magistrale plus tôt. Il n’avais eu qu’a simplement prendre cette brèche pour atterrire derrière moi.

C’est ainsi que je me suis retrouver a l’intérieur de la forteresse. Ce château est certes quelque chose d’impressionnant autant de l’extérieur que de l’intérieur. Tout est grand et spacieux, par contre de l’intérieur un seul élément rend cette vaste demeure, maussade et monotone : ses murs blancs. Tout est blanc. Pas de tonte d’une quelconque couleur vive, ni même neutre. Pas de beige, de gris, ni même de blanc salie ou cailler. Non ! Tout est radicalement blanc. Ce qui donne une étrange impression de luminosité aveuglante. Bref a mon arriver La salle étais vide- de gens bien sur- j’étais poster dans un grande salles comportant quelque effets, tel que des divan ou des petite tables de chevets de couleur blanche bien sur. Derrière moi il y avais une sortie menant a un grand couloir et a l’opposer de cette sortie, un grand escalier que nous prirent sans plus attendre.

Xigbar me mena au deuxième étage qui se séparais d’un couloire menant a deux opsion possible. La droite ou la gauche. Se dirigeant vers la gauche, je suivie le géant sans dire un mot, tortillant quelque peu la manche de mon chandail toujours tremper, tout en contemplant se qui m’entourait, bien qu’a part les murs blancs, il n’y avait pas énormément a regarder. Il me fit entrer dans se qui saurais désormais ma chambre, le seul endroit qui me serais accorder a y faire se que bon me semble. J’avais eu l’ordre de ne pas quitter la pièce, chose qui ne m’aurais pour rien au monde passer par l’esprit. Je préférais rester dans cette petite pièce close, au murs blancs , que de m’aventurer dans un endroit inconnue. Je m’assis donc sur le lit regardant l’endroit comme étant le plus sécuritaire pour le moment. J’avais une forte envies de dormir, mais la peur m’en empêchait. Je ne voulais pas être confronter a un réveille des plus malheureux. Par conte, la fatigue finis par l’emporter après quelques heures d’acharnement et je finis par sombrer dans un mince sommeille inconfortable et agiter, oubliant mes vêtement encore détremper. »


Dernière édition par le Mer 31 Mai - 21:41, édité 1 fois
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