Chroniques de Nobodies
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 Chapitre 2

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Demyx
The Melodious Nocturne
Demyx


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MessageSujet: Chapitre 2   Chapitre 2 EmptyLun 21 Aoû - 15:11

Demyx__Chapitre 2

Je n’avais pas réellement bien dormie cette nuit la et mon réveille n’avais pas été des plus chaleureux non plus. Le vieux – prénommer Xigbar- étais venue frapper a ma porte - je précise et insiste sur le mot frapper- Pour venir me réveiller. Étant a moitié endormie, j’ai sursauter et je me suis retrouver littéralement par terre, étendue de tout mon long – vous verrez ça deviens une habitude-. Après trois ou quatre coup a la porte, J’avais finis par réussir a me relever, mes jambes me faisant encore un peu souffrir, bien que c’étais beaucoup moins prononcer que la veille. J’ouvris enfin la porte sur un Xigbar impatient.

« Ça t’a pris du temps, J’ai d’autre chose a faire que d’attendre que tu te bouge un peu, aller viens suis moi » dit-il la mine morose.

Je ne répondis rien et le suivie comme il me l’avais ordonner, que pouvais-je faire d’autre que d’obéir de toute façon. Il m’emmena au première étage que j’avais rapidement visite, si se n’est qu’a peine entre vue. Nous passâmes plusieurs couloire différent, ainsi que quelque pièce, qui du moins se ressemblais quelque peu tous entre elles. Nous finîmes pas arrivé dans une grande salle presque vide. Xigbar se tourna vers moi m’indiquant de ne pas bouger, le temps qu’il discutent un moment avec un certain Xemnas. J’étais donc rester dans se immense hall qui me semblais quelque peu inutilement grand pour le peu de chose qu’il occupais. La seul chose qui avait porter mon attention étais l’immense symbole graver sur la porte, qui a se jour me semblais être qu’un simple symbole et qui aujourd’hui désigne tous se que nous pouvons êtres ou plutôt se que nous ne pouvons être. Se sont le murmure qui me sortirent de ma contemplation . Je pu distinguer trois différente voix, l’une roque et grognonne a qui je pu identifier le pirate, puis une voix qui semblais plus douce, mais restais tout aussi grave et finalement une autre plutôt base et discrète. Je n’ai jamais sue se qu’il se sont dit, surtout que je ne pouvais qu’à peine percevoir des murmures. C’est après quelque instant que la grande porte s’ouvris de nouveau. Laissant place au grincheux, celui-ci tenant entre ses mains deux habits noirs comme celle qu’il portait constamment, ainsi que deux paire de grosses bottes noirs. Il me regarda et me mis les deux habit dans les bras, ainsi que les bottes.

« tien y’a a un pour toi et l’autre c’est pour le numéro 8 » dit-il dans un marmonnement presque indescriptible.

« Je veut que tu les mettes dès que tu retournera dans ta chambre, ensuite quand se seras fait tu iras porter le deuxième au numéro 8, j’ai autre chose a faire que la nounou » il s’apprêtais a partir mais il se rectifia.

« ça chambre est a droite de l’escalier, deux porte plus loin a t’a droite, aussi je veut que tu reste dans ta chambre jusqu’à demain après que se soit fait. Demain tu reviens ici dès que tu te lèves et t’emmène le numéro 8 avec toi, je veut pas courir après vous compris »

Je m’étais quelque peu renfrogner sur moi même, cacher derrière le tas de bottes que je tenait entre mes mains et fie un petit signe affirmatif de la tête. Je fit alors se qui m’étais demander sans poser de question, ne voulant pas être gronder par le geignard, déjà qu’il n’étais pas commode en colère je ne voulais même pas y penser. Je finis par me retrouver malgré les quelque couloire et pièce a passer avant d’atteindre l’escalier menant au deuxième étage. Arriver au bas de l’escalier je m’apprêtais a entamer la monter, que je fut attirer par la présence D’un autre homme. Ce fut sur le coup surpris – de peur oui – de un, parce que je n’avais encore fait la rencontre d’un autre membre de l’organisation et de deux, parce que son simple regard poser sur moi me donnais la chaire de poule. Il portait tout comme Xigbar et bientôt moi même une robe noire. Une mèche de cheveux bleuter cachais un œil et l’autre me regardait avais une expression indescriptible. Celui-ci étant assis dans un des divan qui régnait dans la pièce, retourna son attention a son livre qu’il tenait entre ses mains. Je montais alors les marche quatre à quatre pour retourner dans ma chambre seul endroit ou je pouvais me sentir quelque peu en surté.

Porte refermer je me laissais tomber sur le sol, repensant a tout se qui s’étais passer pendant ses deux journée. Je tenta de retrouver un souvenir de ma mémoire datant, rien. Je laissa un soupire traverser mais lèvres et finis par enfiles les vêtements. Je sortie de la pièce après mettre assurer qu’il n’y avait personne. J’ai alors traverser le corridors, pour me rendre devant la porte de la chambre du numéro 8. Je cogna une foie, puis deux pas de réponse. J’avais donc décider de revenir plus tard, mais peine un pas que j’entendait des pas qui montais les escalier. Paniquer je me suis faufiler dans la chambre sans même penser qu’il y avait un occupant. J’écouta les pas passer devant la porte pour s’éloigner lentement. Avec soulagement je décompressa un peu, mais mes épaule se crispèrent de nouveau lorsqu’un bruit se fie entendre derrière moi. Je détourna le tête de la porte pour aller poser mon regard sur le lit. Quelqu'un semblais y dormir et j’en déduisi que c’étais le numéro huit. Je laissa donc le manteau du le rebord de son lit ainsi que ses bottes sur le sol. Je m’aparêttais a partie alors que je me pris le pied dans les bottes. Je me retrouvais donc par terre – étonnant non – je souleva la tête pour entrapercevoir Le jeune homme qui dormais toujours dans son lit. Je lâcha un petit soupir de soulagement et me dépêcha pour sortir rapidement et regagner ma chambre.

Arriver je me laissa tomber dans mon lit, pour aller m’emmitoufler dans les couverture et tenter de m’endormir pour la seconde foie. Il ne c’étais pas passer bien grand chose, mais le fait est que j’avais eu peu de repos pour mon « âge » et que le stress qui reposait constamment sur mis épaule ne m’aidais en rien. Rester coucher dans mon lit étais pour l’instant la meilleur façon de retrouver un minimum de force.

Vous ai-je dit que dormir était l’une de mes « activité » Favorite de la journée. Ce silence apaisant, ce vide réconfortant, il faut noter ici que les nobody’s ne rêve pas, d’ou le vide et le silence. Je me suis d’ailleurs toujours demander qu’elle sensation rêver pouvait donner. De la façon dont je le perçois, ou du moins se que j’en sait, c’est que les êtres humains, en dormant, rêve de choses diverse cohérent ou non, vécue ou non, en bien ou en mal. Cela ne donne pas l’impression d’être réveiller 24 heure sur 24. Tout ça pour dire que je suis une vrai marmotte. J’ai tendance à toujours me réveiller à la dernière minute, si se n’est pas en retard. Disons que je préfère toujours dormie tentant d’éviter la triste réalité.

Retournons donc à notre histoire. Je me réveillait donc le lendemain matin en sursaut. Était-ce à cause de cette petite voix qui me disait dans ma tête « RÉVEILLE TOI » ou encore celle qui était dans le couloir et qui semblais perdue cherchant aide et présence. Bien sur, je n’avais pas tout de suite réaliser la situation. Mes idées étant embrouiller et quelque peu endormie si se n’est pas pour dire complètement. C’est après quelques minutes, le temps que les phrases de l’homme perdue dans le couloir ne résonne jusqu’à un endroit fonctionnelle de mon cerveau à se moment [bien que même a l’origine ça peu être dure a trouver -.-] que je me mit a paniquer. « iL y a quelqu'un ? est0ce que quelqu’un peut m’aider ? » Ces deux phrase sonnait comme une massue derrière la tête. Qui d’autre qu’une personne ne connaissant pas l’endroit pouvais être perdue ? Donc étant donner ma propre état la veille, je devinait rapidement de qui il pouvais s’agir. « IL » s’était réveiller ! [oui, oui je peut-être perspicace par foie ]

Je me levait donc à la rencontre de se dernier pour l’emmener à l’endroit convenue. Mal habile que je j’étais [bien que je le suis toujours en faite], je me retrouvais donc face contre terre. J’ai regardé mes pieds, ceux-ci entremêlé dans les couvertures du lit, j’étais peut-être marmotte, mais semblait-il que j’étais une marmotte plutôt active. Je me défis de mon agresseur pour, par la suite, enfilé bottes, manteau et gants.

Je m’aventurais donc dans le couloir infiniment blanc, trop paniqué comme j’étais , je finis par me retrouver perdu à quelque part dans le château , tournant maintenant à droite tantôt à gauche. Bien sur a la vitesse à la quelle je me déplacer je ne retrouverais pas Axel d’ici un bon moment. Disons que je faisais plutôt tout les détoure inimaginable pour éviter de faire des face à face avec les membres de l’organisation qui m’étais à se jour totalement inconnue. Je finis tout de même par me retrouver, pour mon plus grand bonheur, et aboutir dans la salle commun. La première chose qui me frappa au yeux était bien sur, les multiple cartes à jouer qui jonchait le sol au pied de se cher Axel.

« Pourquoi Fallait-il que tu touche à ça ? » Avais-je dit paniqué, en désignant les cartes sur le sol.

Il avais fallu que je tombe sur un « touche à tout », Je me voyait déjà pendu par les pied au dessus d’un gouffre à cause des multiples gaffes de cette hurluberlu. Je me tournais donc vers le nouveau, ses cheveux rouge encore plus aveuglant a la lumière. Il est sur qu’axel ne m’avais pas répondu, mais bon il ne me répond que très rarement ou du moins seulement lorsque ça lui rapporte quelque chose. En faite Axel est un personnage plutôt imbu de lui même. Jamais il ne feras quelque chose qui ne serra pas à son avantage. Disons que je n’avais… et n’ai toujours pas vraiment le profil à me faire écouter non plus. Mais bn je m’éloigne.

« Tu est bien le numéro huit ? » avais-je stupidement demander.

Comment oublier cette chevelure imposante ? Voyant le peu de réaction de mon vis à vis, je le pressais donc, sentant les minutes de retard augmenter de plus en plus. Axel ne semblais pas vraiment quoi faire ni comment agir, un peu déstabiliser de la situation. Facile de comprendre cette impression d’incohérence, imaginer vos a votre premier jour d’existence, devoir marcher, parlez et se faire diriger par des gens dont vous ignorer totalement l’existence. Je vous assure c’est quelque chose qu’on ne retenterais pas de revivre. Je lui mis le manteau entre les mains, l’insistant a l’enfilé. Je n’étais pas plus informer sur nos autre que lui, mais pour l’instant tous se qui m’importait était bien d’éviter de choquer ces derniers avec un énorme retard.

« Où est-ce qu’on doit aller ? » m’avait-il dit, tout en passant son bras dans la manche du manteau.

J’ai penser un instant à la question, sans vraiment en savoir la réponse. Après tout, je ne connaissait que le chemin, du moins de mémoire, mais pas l’emplacement n’y étant jamais entré.

« Je n’en ai pas le moindre idée, » avais-je rapidement répondue, «Allez suis-moi. »

Je m’étais donc diriger vers l’emplacement demander. Seulement, se cher Axel, e semblant pas se douter de la graviter de la situation. Je l’attrapait par la manche de son vêtement, tout en lui faisant accélérer le pas. J’ai pue rapidement me rendre compte à quel point courir pouvait être quelque chose d’extrêmement compliquer surtout avec cette larve qui traînait, J’ai même pue trouver des muscle dont je n’aurais jamais pue imaginer l’existence si ce n’était pas de la douleur atroce qu’il m’infligeait. je n’ai tout de même pas ralentie le pas, mes nerf me faisant avancer, même contre ma volonté [Quelle volonté ? En ai-je non seulement déjà eu ?]

J’avais du me creuser le méninge un bon moment avant de finalement me retrouver dans cette demeure au pièce tout autant plus identique les une que les autre. Nous avons finis par atterrire dans la grande salle, ou m’avait emmener le grand colosse, nul autre que Xigbar, une journée au par avant. Je regarda un moment le symbole graver dans les grande porte d’ivoire. Je fut, comme à ma première visite, sortit de ma contemplation par les murmure s’élevant de l’autre coter de la porte. Je donnais un petit taloche sur l’épaule du numéro huit, lui désignant pas la suite la porte. Il tendit a son tour l’oreille, entendant tout comme moi ses voix. Je l’ai légèrement pousser vers la porte lui indiquant de cogner. Lorsqu’il frappa, le son se répandit dans toute la pièce de façon répéter tel l’écho. Je me crispais sur moi même, certain que nous, ou plutôt qu’il y avait été beaucoup trop fort. Je ne put m’empêcher de marmonner les multiple façon que je put imaginer a se moment comment allions nous finir, torturer ou encore sauvagement assassiner pour notre insolence. Se fut un voix grave, qui gardait n’es en moins cette fausse douceur, qui s’éleva de la pièce.

« Veuillez nous rejoindre. Vous êtes les bienvenus. »

Malgré la douceur de cette invitations, paquet de nerf comme je suis je me plaça derrière Axel évitant tout regard se posant sur moi. Cette offre étais donner de façons si agréable, trop même. Se jour là peut-être aurais-je du suivre mes nerf qui m’indiquait continuellement de reculer et de faire marche arrière. Mais dans un sens ou dans l’autre, Jamais je n’aurais vraiment été capable dans réchapper. À partir de cette instant où l’on franchissait cette porte, le véritable cauchemar commençait, prit a jamais Telle un serviteur entre ses mur blanc sans vie.
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